-Foi de Fred Sigmoune, personne ne me traite de cinglé, pas même Tranche de Rozette! Quelque chose me poussait à respecter ce dieu, moi qui suis du reste athée (et 1/3 musuljuif, mais ça c'est pour le folklore), mais là, elle avait dépassé les limites. Me traiter de cinglé! Je devais la retrouver dans cette jungle inextricable. Autant dire que l'affaire était loin d'être dans le cul de l'âne.
Me lançant dans un vaste récit secondaire, je lançai en pleine jungle amazoonaine un avis de recherche qui devait être le commencement du deuxième opus de mes aventures, sous forme de digression parente et thèse. - Rozbif, tu m'as humilié, tu m'as roulé dans le stupre, tu m'as zigouillé moralement, tu n'as pas plus de respect pour moi que pour un vulgaire cabat, tu vas payer tes paroles impies au prix fort et je vais te faire ravaler ces détestables insinuations de ce pas, m'écriai-je fièrement face à l'immensité végétale tout en nouant autour de mon crâne à moitié chauve un bandana rouge que m'avait un jour offert un hippie qui s'appelait Stéphane, rencontré dans le port de Marseille alors que je revenais d'un long voyage aux îles Maldives suite au choc émotionnel dont j'avais été affligé lors de la rupture d'avec ma copine d'alors, qui s'appellait Angèle et qui n'était pas très belle, mais rudement sympa.
Je reprennai mon souffle, et m'élançai dans la jungle, droit devant.
euh Rozenn ! si je peux me permettre ! au lieu de ce cri très Old England je te verrai mieux - et ça irait mieux avec tes chaussettes- hurler , à 22H18 : "Olé !!!!"
3 commentaires:
-Foi de Fred Sigmoune, personne ne me traite de cinglé, pas même Tranche de Rozette!
Quelque chose me poussait à respecter ce dieu, moi qui suis du reste athée (et 1/3 musuljuif, mais ça c'est pour le folklore), mais là, elle avait dépassé les limites.
Me traiter de cinglé!
Je devais la retrouver dans cette jungle inextricable. Autant dire que l'affaire était loin d'être dans le cul de l'âne.
Me lançant dans un vaste récit secondaire, je lançai en pleine jungle amazoonaine un avis de recherche qui devait être le commencement du deuxième opus de mes aventures, sous forme de digression parente et thèse.
- Rozbif, tu m'as humilié, tu m'as roulé dans le stupre, tu m'as zigouillé moralement, tu n'as pas plus de respect pour moi que pour un vulgaire cabat, tu vas payer tes paroles impies au prix fort et je vais te faire ravaler ces détestables insinuations de ce pas, m'écriai-je fièrement face à l'immensité végétale tout en nouant autour de mon crâne à moitié chauve un bandana rouge que m'avait un jour offert un hippie qui s'appelait Stéphane, rencontré dans le port de Marseille alors que je revenais d'un long voyage aux îles Maldives suite au choc émotionnel dont j'avais été affligé lors de la rupture d'avec ma copine d'alors, qui s'appellait Angèle et qui n'était pas très belle, mais rudement sympa.
Je reprennai mon souffle, et m'élançai dans la jungle, droit devant.
euh Rozenn ! si je peux me permettre ! au lieu de ce cri très Old England je te verrai mieux - et ça irait mieux avec tes chaussettes- hurler , à 22H18 : "Olé !!!!"
Enregistrer un commentaire